Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, le stress, l'inquiétude et le trouble sont absents.

Donc le bonheur est quelque chose de durable, et ce fut le cas, ce jour-là, au sortir de la maternité, avec mon premier bébé....

Son étymologie dit :

Ce mot vient de l'expression « bon eür ». « Eür » est issu du latin augurium qui signifie « accroissement accordé par les dieux à une entreprise ». Ce mot latin est lui-même issu d'une racine indo-européenne (reconstituée) aweg, dont les autres principaux représentants en latin sont :

    .augere, auctus : « s'accroître » qui a donné augmenter, ...
   .auctor : « qui fait croître », « fondateur », « auteur », qui a donné auteur, autoriser, autorité, octroyer, ...

Du point de vue de l'étymologie, le bonheur est l'aboutissement d'une construction, qui ne saurait être confondue avec une joie passagère. Le fait que la création d'un auteur s'accroisse durablement provoque en lui-même l'accumulation des satisfactions, ce qui le mène au bonheur.

Un autre bonheur, celui de donner le sein à son enfant...

Laurence et Romain Chollier ont remis au goût du jour la célèbre barre d’antan et ont ainsi monté leur chocolaterie à Saint-Christol-lès-Alès. Leur Malakoff a été labellisé Sud de France.

Il y avait la madeleine de Proust, mais sans le souvenir de Cévenols, la barre chocolatée Malakoff, qui a aussi bercée l’enfance de beaucoup, n’aurait pas repris vie. Une histoire de hasard, de tests et de gourmandise évidemment. Aujourd’hui, grâce à Laurence et Romain Chollier, la saveur d’antan est remise au goût du jour, pour le plus grand bonheur des adeptes, anciens et nouveaux.

Romain chocolatier par accident

http://www.boutique-malakoff.fr/   ou CLIC sur l'image...

Romain est aujourd’hui à la tête de sa propre chocolaterie à Saint-Christol. "Je suis tombé dans le chocolat par accident." Et oui, à la base, son métier, c’est serveur. Venu en Cévennes pour suivre son épouse, il reprend la petite crêperie de la place Barbusse, dans le centre-ville d’Alès. Et c’est là que tout va commencer.

"Nous voulions donner une identité à notre crêperie." Alors pour se démarquer, il décide de confectionner une pâte à tartiner, goût Malakoff, qu’il met au point petit à petit. Première étape de ce qui va devenir une sacrée aventure dans l’histoire du chocolat au lait, praliné et noisettes.

Une expérience de huit mois

"Il n’y avait pas un jour où on ne nous demandait pas à quand la barre chocolatée...", explique Laurence. La fameuse barre Malakoff dont la production a été arrêtée dans les années 1990. Alors, Romain s’est mis aux fourneaux pour réinventer un souvenir. Il a fait de son domicile un véritable laboratoire expérimental pendant plus de huit mois. Tous les soirs en rentrant, il tente et teste des recettes et le lendemain, c’est aux clients de donner leur avis. Il se renseigne sur internet, Sylvain Veyret, chocolatier, lui donne quelques conseils et lui file un coup de main.

Et en picorant, çà et là, les critiques, sur les goûts, la saveur et la couleur... d’une barre gourmande encore présente dans les mémoires, il parvient enfin au bon dosage. "Bien entendu, je suis un autodidacte, alors des catastrophes j’en ai essuyées plus d’une, mais ça valait le coût." Et oui, à chaque fois qu’une personne croque dans un chocolat Malakoff, retour vers le passé assuré. "Le sourire sur le visage qui s’affiche, le retour dans la cour de récré, l’étincelle dans les yeux, c’est une barre créée uniquement à partir de souvenirs, elle sort de la mémoire."

Un challenge plutôt réussi ! D’ailleurs, si ça se trouve, la barre Malakoff de Romain n’a pas le même goût que l’originale, mais peu importe, c’est de celle-ci dont chacun se souvient.

Un produit labellisé Sud de France

La recette finale est simple : des ingrédients nobles, peu ou pas du tout d’huile de palme pour la pâte à tartiner, du beurre de cacao préféré aux huiles végétales... Résultat, les produits de la Malakoff company sont labellisés Sud de France. Le couple vient même d’être distingué avec trois médailles Militant du goût. Avec ce succès, il était logique que Laurence et Romain montent leur chocolaterie.

Depuis 2011, elle trône à Saint-Christol et devient petit à petit incontournable. Et la mode Malakoff se répand à travers le monde. "N’exagérons pas pour le moment. Mais nos barres sont parties au Japon, en Argentine et même en Australie grâce à quelques touristes", s’amuse Laurence. Et avec internet, la France entière a accès à ce petit délice. Pour l’heure, un projet de glace pour cet été est en train d’être réalisé. Ça risque de nous faire fondre encore plus de bonheur...
UN PEU D’HISTOIRE

Une bataille sous Napoléon III...
Le général Mac Mahon rentre victorieux de la bataille de Malakoff le 7 septembre 1855, durant la guerre de Crimée sous Napoléon III. Une barre chocolatée fut créée le lendemain, le 8 septembre 1855, par un chocolatier stéphanois.
La recette fut ensuite vendue à l’usine Cémoi dans les Pyrénées-Orientales qui la produisit jusqu’en 1997. D’ailleurs depuis quelques mois, l’entreprise Cémoi a décidé de relancer sa production. Peut-être grâce aux Cévenols...

extrait de Midi-Libre

Le tennis-club remporte la Coupe bleue 3, article paru sur le Midi-Libre de sète...

Les Balarucois se sont imposés au terme d'un terrible suspens. Quand l'abnégation se met au service du collectif, l'émotion est au rendez-vous.

Bravo messieurs, je suis fier de vous mais vous pouvez être fiers de vous". Ainsi s'est achevé le discours de David Roche, président heureux du tennis-club balarucois. Une apologie qui venait saluer la victoire des Balarucois en finale de la Coupe bleue face à Villeneuve-lès-Béziers, au terme d'une rencontre à suspens disputée au Cap d'Agde.

Tout avait pourtant mal commencé avec la défaite surprise du capitaine Jérôme Conte, jusqu'alors invaincu dans cette compétition.

Heureusement pour les Balarucois, Brice David ramenait par son succès les deux équipes à égalité.

Restait le troisième match décisif et qui allait être terrible pour les nerfs des joueurs et des supporters. Mené 4 jeux à 0, Alexandre Soler remportait pourtant la première manche, 7 jeux à 5. Bis repetita dans la seconde avec un Balarucois mené 5 à 1 et qui, encouragé par son coach Philippe Landes, entame alors "une remontée, une escalade fantastique", dira son président, pour l'emporter finalement au tie-break au bout de la cinquième balle de match ! Victoire finale pour Balaruc, 2 à 1, et une fiesta bien méritée dans l'enceinte du TCB pour fêter, avec modération, une victoire jugée historique.

Anniversaire de Cindy, ma fille aînée!

Ca aurait du se passer à la St Rodrigue, mais faute de tous pouvoir nous libérer, on a attendu le Dimanche suivant...

... et je me suis régalée, voyez plutôt....J'en ai parlé à Mousse, tant le souvenir de mon palais est encore trés présent.

Comme d'habitude, une smala d'enfants...Emma en bleu et son papa (mon fils), derrière : Luzandrea en joggin, et Léa avec la sucette retrouve sa maman (ma belle-fille)...

Heureusement que cette maison est grande, car ça fait un total de 9 gamins qui courent de partout...

Eolia et sa soeur Adeline, mes deux autres filles...

Et Cindy et moi, heureuses et comblées, aprés ce moment de bonheur ....

Des instants et des moments de bonheur, en jouant...

Mais que fait Eolia, avec sa tablette?

Et que regardent avidement, mes filles, sur le téléphone de mon gendre?

Voici une réponse : un montage de mon gendre avec les yeux d'Eolia... je trouve fabuleux tout ce qu'on peut faire avec un téléphone....

Et la seconde réponse, la voici, la voilà!

J'ai eu droit, moi aussi, à un moment de célébrité, voyez plutôt la vidéo, ci-dessous .....